Commentaire sur les blagues Guerre froide, très très froide
Il y a quelques années, pendant la guerre froide, Ivan avait la double
fonction de diplomate russe et d'espion. Il était arrivé six mois
plus tôt aux Pays-Bas, lorsqu'il éprouva le besoin de se confier
à Boris, son secrétaire personnel:
- J'ai besoin d'une fille Boris. Je n'y tiens plus. Six mois sans une petite
Petrouchka, c'est trop!
Le jour suivant, Boris appelle une call-girl pour son patron. Ivan la reçoit
avec ce qu'il faut de vodka et de caviar pour un minimum de convivialité.
Alors que la fille enlève son haut, Ivan remarque qu'elle s'est rasée
les aisselles. Étonné, il montre ses propres aisselles et lui
confie:
- Chez nous, les femmes ont des poils à cet endroit
La fille lui répond gentiment:
- Chez nous, c'est la mode de se raser les aisselles. Les hommes préfèrent
ça.
Ils boivent encore un peu de vodka, et la fille enlève ses bas. En passant
la main sur le galbe de ses mollets, Ivan découvre que la peau est aussi
lisse et douce que celle des fesses d'un bébé. Il s'étonne
à nouveau:
- Chez nous en Russie, les femmes ont des poils ici aussi!
Une fois de plus, la fille répond:
- Eh bien ici, les femmes ont l'habitude de se raser ou de s'épiler les
jambes.
Un verre de vodka et quelques cuillers de caviar plus tard, la fille retire
sa culotte et Ivan au comble de l'effarement constate qu'elle a les poils pubiens
presque complètement rasés eux aussi! Il y va à nouveau
de son couplet sur les femmes russes:
- Chez nous en Russie, les femmes ont beaucoup plus de poils que ça à
cet endroit!
Alors la fille s'énerve et lui répond:
- Écoute Tovaritch, si tu préfères tricoter, c'est une
brebis qu'il te fallait, pas une fille! Noter Moyenne : 0
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